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Histoire d'une escorte de Genève - Leona

Mes dernières conversations avec les filles m'ont amené à enquêter sur leur vie, leur passé et à en apprendre davantage sur les critères qui accompagnent la sélection de chaque fille par le recruteur de l'agence d'escorte.

Chaque agence d'escorte à Genève ne prend qu'un nombre limité de filles pour assurer un niveau de qualité très élevé, quelques filles, mais toutes belles, professionnelles et capables de traiter chaque demande dans l'art et la manière, contrairement à celles que l'on rencontre au "Red Light District", où tout le monde a la possibillité de se lancer dans ce business. 

Je suis très intéressé par les critères de sélection des filles et d'enquêter sur les différentes motivations autre que -Je veux me faire de l'argent-. Aujourd'hui, je vais poser ces questions à l'escorte que je dois interviewer, l'une des plus belles modèles de l'agence, la sublime Leona !

-Salut Leona, merci d'être là. Votre agence d'escorte m'a dit que vous êtes une personne très difficile à joindre, pour cela je vous suis reconnaissant de votre disponibilité. ”
-Merci, j'espère que mon histoire permettra au public de voir la prostitution d'un point de vue différent-, répond Leona, extrêmement polie.
Leona est une escort girl très charmante, et l'agence m'a dit qu'elle ne parle pas beaucoup de sa vie privée et de sa vie passée, mais qu'elle peut faire une exception juste pour moi.


- Plusieurs des escortes suisses que j'ai rencontrées m'ont dit que la raison principale de leur décision était l'argent. Quelle est la raison pour laquelle l'argent vous a conduit à cette vie ? J'aimerais bien connaître votre parcours.
-Quand j'étais enfant, mon rêve était d'être vétérinaire et de soigner tous les animaux, j'ai essayé de réaliser ce rêve, mais l'université était trop difficile pour moi, et je suis parti après le premier semestre. déçu, parce que mon père a fait beaucoup de sacrifices pour me permettre d'aller à l'université, et de son point de vue, je n'ai fait que lui faire perdre argent et temps.
Je ne peux pas lui en vouloir, mais je crois que continuer à étudier avec désintérêt uniquement pour ne pas le décevoir aurait été le pire choix. Quoi qu'il en soit, ma décision a gravement nui à ma relation avec ma famille et j'ai cherché un emploi pour être indépendante.
J'ai commencé à travailler comme serveuse et danseuse dans une discothèque, et je dois avouer que j'étais très tentée par l'idée de me retrouver en vedette.
Un jour, un type m'a offert de l'argent pour une pipe, et j'ai accepté. C'était beaucoup d'argent, et c'était un beau garçon. J'aurais fait la pipe gratuitement, mais être payé était plus qu'encourageant. ”
-C'est à ce moment-là que vous avez réalisé que le sexe pouvait être la clé de votre indépendance ?
-Oui, ça pourrait sûrement aider. Ce type est devenu mon premier client, et tous les soirs, il me payait pour des pipes ou des branlettes. Peut-être qu'il était trop timide pour me demander de faire l'amour, je ne le saurai jamais, ou peut-être que c'était juste comme cela qu'il préfèrerait jouir. Toutefois, en peu de temps, j'ai gagné beaucoup d'argent et j'ai pu quitter le travail de serveuse, en me concentrant uniquement sur l'activité de danseuse. ”

-Et ensuite, que s'est-il passé ?
-Soudain, mon client a disparu. Il m'avait écrit un message disant qu'il avait trouvé une fille, alors il ne pouvait plus faire ces choses avec moi. Je ne vous surtout pas être mal comprise, j'étais heureuse pour lui, et je comprenais bien son point de vue, mais j'avais perdu beaucoup d'argent, et puis le travail de danseuse ne suffisait plus. J'avais commis l'erreur de me confier à une seule personne, et je ne savais pas quoi faire. ”
-Comment avez-vous rencontré l'agence d'escorte ?
-J'ai commencé à chercher des idées sur le web pour travailler dans l'industrie du sexe, mais je ne voulais pas être une pornstar, j'ai essayé de travailler comme une camgirl, mais ce n'était pas amusant, j'ai apprécié le contact physique et pas le cyber-sexe. J'ai décidé de travailler comme escorte à Genève et j'ai trouvé une agence qui cherchait de nouvelles filles. J'étais au bon endroit au bon moment. ”
-Ont-ils été très sélectifs ?
-La première priorité est d'offrir un service d'escorte de première classe au client, et la meilleure façon de le faire est d'avoir des filles qui ont été sélectionnées et qui sont motivées. Le personnel m'a immédiatement montré les aspects positifs du travail, puis les aspects négatifs, pour me faire comprendre qu'être escorte n'est pas seulement avoir des relations sexuelles et gagner de l'argent. ”
-Quels sont les aspects négatifs pour vous ?
-Etre escorte en Suisse n'est pas un travail à temps partiel ou un travail normal. Tout d'abord, vous devez prendre soin de votre corps de manière obsessionnelle, donc régime et beaucoup d'entraînement. Vous devez toujours être prête à sortir avec un client et à faire l'amour. J'adore le sexe, mais il y a des jours où je ne suis pas d'humeur à le faire, mais il le faut. ”

- Avez-vous déjà couché avec des gens que vous n'aimez pas ?
-Le personnel sélectionne les clients, principalement en fonction de leur niveau d'éducation et de la capacité de payer, des fois j'étais amenée à coucher avec de grosses personnes ou des personnes âgées, extrêmement polies, mais je ne les aimais pas.
-N'était-ce pas bien ?
-J'avais hâte d'en finir, et je faisais semblant d'avoir des orgasmes.
L'entretien avec Leona a été passionnant, et je voudrais bien enquêter sur les aspects négatifs de ce travail avec d'autres escortes.